Réparations Crime contre l'humanité et génocide


La dette coloniale : réparation- développement & la diplomatie
PRINCIPE : 1
La dette coloniale, qui s’impose en réparation des peuples et pays victimes, est relative aux conséquences dommageables sur la démographie, le développement et le sous-développement, tel que l’exploitation coloniale capitaliste, la déportation, l’esclavage, la colonisation française, et européenne.
PRINCIPE : 2
La dette coloniale en réparation- développement est un droit qu’il incombe aux puissances coloniales de respecter en vertu des crimes contre l’humanité et génocides coloniaux et impérialistes français et occidentaux un droit fondamental imposant des devoirs de réparation développement qui doit être reconnu et évalué par la justice internationale.
PRINCIPE : 3
Il s’agit d’un droit fondamental et devoir de réparation développement concernant les préjudices des peuples et pays ayant droit, qui ont été les victimes de la France et de l’Europe impérialiste et coloniale. Sont concernés en fait des indemnités du droit à réparation développement, des peuples et de leurs mouvements patriotiques et nationalistes qui, à l’instar d’Haïti, ont réclamé lesdites indemnités et redevances stipulés.
PRINCIPE : 4 L’imprescriptibilité du droit et devoir en réparation au développement.
Les puissances coloniales sont concernées par l’imprescriptibilité du droit et devoir en réparation développement dont elles sont débitrices aux anciennes possessions françaises ou dernières colonies dites : Territoires d’Outre-mer, R.U.P. Départements, Régions d’Outre-mer et Collectivité Territoriale. Ces droits et devoirs en réparation développement concernent les crimes contre l’humanité, la déportation des noirs l’Afrique et des indiens de l’inde, le génocide des amérindiens, l’esclavage et l’exploitation dues aux phénomènes coloniaux pratiqués par la France et l’Europe, sur une durée de plusieurs siècles au préjudice de tous ces peuples et pays.
PRINCIPE : 5
Il s’agit d’une dette comptable imprescriptible, à l’instar de l’holocauste, impliquant des dédommagements au plan financier et économique aux calculs complexes sur des audits de plusieurs siècles. Ladite dette économique de réparation au développement doit être calculée en fonction de la durée du préjudice ayant été subis par plusieurs peuples et continents d’Afrique, de l’inde, et de l’Amérique et de la Caraïbe et autres. Ces redevances françaises et internationales européennes prennent en compte les préjudices moraux et matériels d’un traumatisme massif psychologique de destruction. Tels que sur ces deux plans il doit être reconnu le caractère massif de l’ampleur des crimes contre l’humanité : L’ampleur de la saignée démographique de la déportation du dépeuplement en dédommagement des peuples africains et d’ascendance africaine.
PRINCIPE : 6
La dette esclavagiste et de la colonisation française et européenne doit faire l’objet d’enquêtes et d’études exhaustives en rapport à une évaluation comptable des préjudices du retard infligés aux peuples victimes en matière de progrès économiques culturels et scientifiques. D’où des audits par des experts nationaux et internationaux neutres, de manière à quantifier au plan financier et monétaire le poids de la dette coloniale et impérialiste française.
PRINCIPE : 7
Ces audits internationaux concernent les évaluations : du commerce triangulaire Afrique, Amérique Europe ; des intérêts colossaux tirés, qui ont profités aux puissances coloniales et qui ont été relatifs à l’exploitation, la production des biens ayant enrichis la France et à l’Europe dans tous les domaines à partir des grands ports de commerce comme Bordeaux, Marseille, le Havre pour la France et autres. Y compris les richesses ayant été extirpées du négoce au profit du développement de la France hexagonale et de l’Europe dont le corollaire aux colonies s’est traduit par l’organisation d’un système de pauvreté et de sous-développement des peuples et pays. D’où les graves conséquences des préjudices relatifs aux spoliations de leurs ressources humaines et matérielles, financières, monétaires, morales et psychologiques. L’exploitation et le pillage en résultent des catastrophes durables et persistantes au plan économique, culturel sur l’existence matérielle d’une grande partie de l’humanité.


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